« La finance et les banques, c’est complexe, très complexe – une affaire d’experts. Alors circulez, et laissez ces messieurs faire leur travail. »
Nous n’aurions donc rien à dire sur ces banques, qui nous explosent à la figure, nous méprisent, mettent les gouvernements au pas – et qu’on ne parvient pourtant pas à contourner tant leurs services nous sont essentiels ? Les banques, la finance, nécessitent une pensée qui va bien au-delà du discours de l’expertise. Et c’est peut-être même par là qu’il faudrait commencer: se poser la question de la place que nous voulons bien leur laisser ; la question de qui peut légitimement maîtriser ces super-pouvoirs qui permettent aux banques de décider, par le crédit, quelles idées verront le jour ou pas. N’est-ce pas un enjeu majeur dans un monde où tout ou presque est passé à la moulinette financière, et où les catastrophes politiques, sociales et environnementales s’accumulent?
Cette conférence gesticulée propose – à travers la narration du parcours atypique de l’auteure et interprète – un point de vue sur nos leviers d’action face à la finance, aux banques et à leurs crises, ainsi que des explications sur les banques et leur fonctionnement, les marchés financiers et leur logique, les réponses réglementaires et leurs limites.
Au terme de la conférence gesticulée, Aline Fares présentera et dédicacera son livre : « La Machine à détruire – Pourquoi il faut en finir avec la finance ».
Place : GRATUIT (Une conférence offerte dans le cadre des Fêtes de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Réservation vivement souhaitée – nombre de place limité)
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